Auteur/autrice : Liège Natation

Quelques résultats des finales du samedi.

Chez le femmes

100Pap  1) Sarah Sjostrom (photo) 58.08 2. Martina Granstrom  59.07

200NL 1. Wendy v.d. Zanden  2:00.44

50Dos 1. Maaike de Waard RTC Dordrecht 29.44 et Annemarie Worst E.On-Nza 29.44

Chez les hommes

200NL 1. Sebastiaan VerschurenE.On-Nza  1:47.38 2. Dion Dreesens  1:47.61
3. Arjen van der Meulen  1:50.50 4. Glenn Surgeloose Liege Natation 1:50.57

50Dos 1. Bastiaan Lijesen  24.79 2. Guilherme Guido  24.94

100Pap 1. Joeri Verlinden 52.07 2. Gabriel Mangabeira52.97

52.75 c’est le fantastique chrono réalisé par Ranomi Kromowidjojo en finale du 100NL lors de la 2ème journée de la Swim Cup d’Eindhoven. La Néerlandaise, même si son nom ne le laisse pas sous-entendre, véritable spécialiste du sprint, s’impose comme une des favorites pour Londres.

En finale, elle devance Sarah Sjostrom (53.30) et  Marleen Veldhuis (53.95).

Chez les hommes, Stefan Nystrand (48.99) s’impose devant Sebastiaan Verschuren (49.11) et le Belge Emmanuel Vanluchene (49.82).

C’est aujourd’hui, dans la magnifique piscine Pieter van den Hoogenband, qu’a débuté la Swim Cup Eindhoven 2012. De nombreux nageurs issus de différents horizons ( Pays-Bas, Suède, Grande-Bretagne, … et Belgique) sont présents.

Lors de cette première journée, Sarah Sjostrom (93) s’est particulièrement illustrée. Lors d’une demi-finale du 100NL, elle a réalisé la meilleure performance de l’année en 53.29.  Nous vivrons, assurément, une grande finale demain.

1. Sarah Sjostrom 53.29
2. Ranomi Kromowidjojo  53.60
3. Marleen Veldhuis  54.15
4. Inge Dekker  54.43

Chez les hommes, toujours au 100NL, un Belge se trouve en embuscade avant la finale.

1. Sebastiaan Verschuren  49.15
2. Stefan Nystrand  49.46
3. Emmanuel Vanluchene 49.79

Dans un entretien accordé au quotidien L’Equipe, Hugues Duboscq explique les motivations le poussant au divorce avec son coach Christos Paparradopoulos.

Des championnats de France ratés (qualification olympique avec le relais 4x100m 4 nages seulement, en tant que remplaçant) ont contraint Hugues Duboscq, 30 ans, à «faire le point et en tirer des leçons». Le Havrais reconnaît que l’organisation, qu’il avait mise en place début septembre, «était bancale. Ce partage entre plusieurs coaches (Yves Guerniou et Benoît Masclaux s’occupaient de la partie technique, Paparradopoulos des séances classiques) n’était pas la bonne solution.»

D’où la décision de ne plus travailler avec le technicien grec, avec lequel il a collectionné les médailles internationales  depuis 2004. «Christos, à Dunkerque, je ne l’ai quasiment pas vu, regrette Duboscq. Durant des années, à chacune de mes contre-performances, j’ai été livré à moi-même.»